Articles pour « mai 2nd, 2012 »

L’Australie, c’est aussi… (Partie 5 : en vrac)

En vrac…

  • Il est possible de retirer de l’argent à la caisse de tous les endroits où l’on peut payer par carte bancaire : à la caisse du supermarché, de Mac Do, des stations essence …. (et sans frais). Pratique quand tu es au milieu de nul part sans distributeur automatique en vue !
  • En fait, bien qu’en Europe on est convaincu du contraire, le rugby n’est pas si populaire que ça en Australie ! Pendant, la coupe du monde de rugby 2011, les matches n’était pas très suivis… nous qui nous attendions à une folie furieuse, et des supporters surexcités… et bah dans l’cul lulu ! Ici, le sport roi, c’est le footie ! Suite »

L’Australie, c’est aussi… (Partie 4 : le territoire australien & la nature…)

Le territoire australien

  • L’Australie est un graaaaaand pays, le 6ème du monde par sa superficie (soit un peu plus de 11 fois la France)
  • Par contre, cet immense territoire est seulement habité par à peu près l’équivalent d’1/3 de la population française !
  • Certaines parties de l’Australie sont quasi-désertes : dans ces cas là, il faut s’assurer d’avoir assez d’eau et d’essence pour tenir jusqu’au prochain bled ou roadhouse (de notre côté, on a toujours en réserve 3 jerricanes d’eau et 2 jerricanes de diesel !) Suite »

L’Australie, c’est aussi… (Partie 3 : sur la route…)

Sur la route

  • Il est possible de faire demi-tour sur certaines autoroutes (oui oui vous ne rêvez pas, il y a des voies spécialement aménagées pour ça) et d’y faire du vélo (bah voyons pourquoi pas !)
  • Les australiens roulent à gauche, et très majoritairement en 4×4 ou en pick-up (invention australienne)
  • C’est pas seulement une légende tirée du bouquin de Douglas Kennedy Cul de Sac/ Piège Nuptial, c’est très vrai : dans l’outback, il est très dangereux de rouler de nuit : des animaux sauvages (particulièrement les kangourous) peuvent traversent la route à n’import quel moment Suite »

L’Australie, c’est aussi… (Partie 2 : au magasin…)

Au magasin…

  • Au supermarché, c’est la caissière qui emballe tes achats (hé oui, ce n’est pas la caissière de Carouf qui continue à faire passer tous tes achats au bip même si ça va déborder et tomber par terre parce qu’elle va trop vite et que tu n’as pas le temps de tout emballer que aaaaaaaaah et elle continue cette sadique !)
  • Ici, le lait s’achète au litre ou à la bouteille… le pack, t’oublie !
  • Pareil, pas de sirop ici ! Le dieu Teisseire est inconnu en OZ
  • L’alcool n’est pas vendu en supermarché (que ce soit vin, bière, alcool fort, …), mais en « Bottle shops » (des magasins d’alcool)
  • A noter que certains Bottle shops ont un « drive » ! Ca se passe comme à Mac Do : tu prends ta commande de ta voiture, et on vient te l’apporter ! (un peu surréaliste, mais vrai !) Suite »

L’Australie, c’est aussi… (Partie 1 : les australiens)

Revenir en Australie, c’est aussi retrouver toutes les petites choses du quotidien qui font, que pas de doute, ici on est bien à l’étranger, et pas en France !
Ces petites choses sont devenues plus ou moins habituelles pour nous… Notre vie en Australie, c’est donc aussi ça :

Les australiens

  • Les australiens sont fréquemment (et surtout beaucoup) tatoués. On n’a jamais vu autant de gens tatoués ! Pourquoi ? J’ai peut-être une théorie : les convicts arrivaient souvent en Australie avec un tatouage, qui avait été réalisé pendant le voyage en bateau. En effet, dès l’embarquement et pendant toute leur peine (qui pouvait durer à vie –enfin à mort-), ils n’étaient plus appelé que par un numéro ; le tatouage leur permettait donc de garder un bout de leur identité et d’afficher un morceau de leur histoire (ça on l’a appris au musée de Port Arthur). Il semble donc logique que le tatouage soit beaucoup plus présent ici qu’ailleurs : il serait donc un héritage culturel datant de l’époque des premiers colons : les convicts ?
  • Beaucoup d’australiens se baladent pieds nus ; et pas que les ados en pleine rébellion vestimentaire ! ça peut être tout le monde : les gamins comme les parents ou les grands-parents (et qu’il pleuve ou qu’il fasse 35°, en pleine ville (dans les magasins hé oui) ou à la campagne !). Alors ça c’est un truc que j’ai eu beaucoup de mal à comprendre au début de notre séjour : mais POURQUOI marchent-ils pieds nus ? Parce que non seulement c’est quand même pas très propre, mais surtout, ici tu peux croiser un serpent ou une araignée mortel(le) à n’importe quel moment, c’est super dangereux, ils sont chtarbes ou quoi ?! Après avoir posé la question à plusieurs personnes (australiennes et autres), la réponse est apparue, toute simple : « c’est parce qu’ils sont tellement « casuals » (en gros : cools), et proches de la nature ». J’ai toujours pas compris le concept, mais je l’ai accepté 🙂 : quand t’es cool, t’as pas de chaussures. (euh…. J’ai gardé mes tongs) Suite »

« Où qu’on est ? »

Après quelques mois de difficultés techniques pour mettre à jour notre page « Où qu’on est ? » et un sursaut de motivation, nous avons recommencé et surtout mis à jour une nouvelle carte Google vous permettant de visualiser notre voyage, et de voir où nous en sommes géographiquement 🙂 ! (c’est à dire tout de suite, dans le Queensland)

Et comme avoir un blog, c’est aussi encourir les inconvénients du net, notre pote Kévin –gros bisous !– est intervenu afin d’empêcher les commentaires spams (que l’on traquait sans relâche afin de les supprimer) que vous avez peut-être pu apercevoir…

Du neuf quoi!!
Voili voilou bisous.

A. & S.

Back in business ! ;-)

Back… in Sydney ! Après avoir récupéré un Jack en pleine forme, avoir retrouvé Benoît puis Fabien, et avoir fêté comme il se doit mon anniversaire : Back… on the road, avec un premier stop aux Blue Mountains, appelé ainsi en raison de la brume bleutée qui se dégage des eucalyptus recouvrant les canyons (véridique, on a bien vu la petite couleur bleutée !). Le parc national étant assez proche de Sydney, on n’était pas les seuls (on se rendra vite compte que c’est très souvent le cas sur la côte est), mais nous avons apprécié les paysages et les balades que nous y avons faites.

La marche c’est cool, mais LA PLAGE… C’EST LA VIE! Ca tombait bien, car notre route est celle qui longe la côte est, avec sur notre passage, les célèbres Gold Coast et Sunshine Coast… Des noms qui font rêver, mais de notre côté, on n’a pas trop aimé : trop de gens, d’immeubles, de voitures (on a connu notre 2ème embouteillage australien, le choc !), de villes balnéaires ! Elle est où la nature ? Comment est-ce possible qu’un même pays ait une côte aussi sauvage que celle de l’ouest, et aussi peuplée que celle de l’est ?!!! Et bah dans cette période électorale, NOUS ON VOTE POUR LA COTE OUEST !!!
On a quand même fait quelques stops « plage » (faut pas déconner, la plage reste la plage ! Et quelques après-midi « loques » sur le sable blanc, au soleil, c’est tellement bon pour la santé 🙂 !). Doud en a donc profité pour taquiner les vagues de Surfers Paradise, ville dont le visage est un subtil mélange entre Miami et la Grande-Motte (si si, c’est possible !).

Back… au boulot ! Bon, même dans ce pays de Cocagne, les sous ne poussent pas sur les arbres… mais les mandarines… si ! Nous nous sommes donc arrêté à Gayndah, dans la Queensland, pour travailler en tant que pickers de mandarines. Nous y avons rejoint Seb & Chloé, que nous avions rencontré vers Adélaïde et recroisé depuis, ainsi qu’une quinzaine d’autres pickers francophones (de France, Québec et Belgique), et d’une exception teutonne ! Nous habitons tous à la ferme, et quand on ne travaille pas, comme cette semaine (questions de maturation des fruits et du cours des agrumes), l’ambiance c’est un peu colonie de vacances ☺ ! C’est comme ça que Doud s’est blessé à la main au tennis-ballon (doigt fracturé, foulé ou entorsé… ? (c’est un nouveau mot, ça vient de sortir) … Le mystère reste entier) et qu’une canne à pêche à tenté de me casser le nez.
News à la mandarine au prochain épisode…

Gros bisous à tous !!

A.